Separate Sentences

Separate sentences / Sentences distinctes
de Amie Dowling et Austin Forbord
(15’ – USA 2016)
Production : Amie Dowling, Austin Forbord

L'incarcération n'est pas un événement unique ou distinct, mais un processus dynamique qui se déroule au fil du temps et qui touche les familles depuis des générations. Separate Sentence est un film de danse/théâtre de 15 minutes qui s'inspire des expériences individuelles et des souvenirs physiques d'une troupe composée d'artistes de Bay Area - dont certains sont des pères ou des fils qui ont vécu l'incarcération. Le film a été tourné dans toute la région de la baie de San Francisco.

Remains

Remains / Ce qui reste de Vasilis Arvanitakis
(1’ – Grèce 2018)
Production : Vasilis Arvanitakis

Un être humain solitaire avec une existence insatisfaite. Les restes d'un monde en ruine. Ce qui reste d'une âme qui se sent différente des autres. Un être humain y reste, toujours en train de regarder le monde dont il ne pourra jamais faire partie. Il essaie de trouver un sens à son existence même, mais à chaque fois ce qui reste de lui est son incomplétude.

Del Migrar

Del Migrar / Migrer de Cándido Pérez de Armas (8’19 – Espagne 2017)
Production : Alfredo del Rosario

Je suis destiné à me transformer. Changement, évolution.... Je dois laisser derrière moi mes empreintes de pas, je dois laisser derrière moi mes signaux. Ne regardez pas, ne pensez pas.... Au diable, jouer, oser..... Je devrais à nouveau créer des calques.... Je devrais me recréer.... Je devrais migrer à nouveau....

The Derive

The Derive / La dérive de Tanin Torabi
(7’39 – Iran 2017)
Production : Tanin Torabi

Une exploration des questions sociales et culturelles. Une danseuse se déplace parmi les gens dans un vieux bazar à Téhéran pour capturer les réponses et les réactions. La danse est interdite en Iran.

Alphabet

Alphabet de Kianoush Abedi
(5’55 – Iran 2017)
Production : Kianoush Abedi

Cela fait des années que les gens de cette ville n'ont pas vu les alphabets de la vie. Ils n'ont plus ni vue, ni ouïe, ni parole... mais les mots attendent impatiemment d'être chantés à nouveau.